Réforme des retraites : le totem des libéraux
La réforme ne vient pas de n’importe où, et la soumission de la France aux directives de Bruxelles n’est pas étrangère à la casse du système social français.
La réforme ne vient pas de n’importe où, et la soumission de la France aux directives de Bruxelles n’est pas étrangère à la casse du système social français.
L’exécutif tremble : il n’aura pas la même liberté que lors du premier quinquennat sans cette majorité absolue au sein de la chambre basse du Parlement.
Pendant toute la campagne, les militants de La France insoumise balayaient d’un revers de main les procès en islamo-gauchisme de Jean-Luc Mélenchon. Selon eux, alors que M. Mélenchon et son union populaire représentait, enfin, l’opportunité d’unir les gauches pour battre le néolibéralisme de LREM, ces basses polémiques étaient, au mieux, diffamatoire, au pire, sans intérêt. Tout homme de gauche qui oserait critiquer le positionnement de J-L. Mélenchon sur la laïcité serait ainsi une menace pour l’union populaire et pour la victoire de la gauche.
Publié le dimanche 17 avril 2022 au journal officiel, le décret du 16 avril 2022 portant application de la réforme de la haute fonction publique vient acter l’extinction des corps des conseillers des affaires étrangères et ministres plénipotentiaires, promise par le gouvernement Castex depuis le 9 novembre 2021, date à laquelle le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves le Drian avait annoncé ladite extinction des corps dans une lettre aux concernés.
Depuis mercredi, une polémique sévit à l’université de Nantes. La présidente de l’université a utilisé la liste des mails des étudiants et des enseignants-chercheurs, afin de les appeler à faire barrage à l’extrême-droite pour le second tour de l’élection présidentielle.
Donné à 31 % au premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron bénéficie pleinement de la posture de chef diplomatique qu’il a acquise depuis le début du conflit russo-ukrainien.